Abstrakt

Dans l’article l’Auteur expose une des nombreuses institutions, qui actuellement appartient à un passé révolu, c.à.d. la division en choeurs ou en classes des instituts religieux féminins polonais. On démontre que dès les débuts de son existence, l’institution analysée était soumise à des transformations de tout genre. En se basant sur les directives de l’ancien Droit canon en ce qui concerne les instituts religieux, on expose les différences qu’il y avait entre les diverses classes de soeurs; elles con — cernaient principalement le domaine des devoirs à remplir et des droits qui leur revenaient. L’Auteur attirant l’attention sur la pratique du Saint-Siège et sur divers actes juridiques démontre avec preuves à l’appui que la plus haute autorité de l’Église, surtout à partir des années trente de notre siècle, a toujours charché à supprimer la division en classes qui existait dans les instituts religieux féminins; ce qui fut fait après le concile de Vatican II. L’article souligne un fait très important, à savoir que la division en choeurs n’était imposée par aucune autorité ecclésiastique, mais cette institution pouvait être introduite soit par les fondateurs (fondatrices), soit par d’autres organismes législatifs des différents instituts religieux. La dernière partie de l’article contient la liste des instituts religieux féminins érigés en Pologne, dont les membres n’étaient pas divisés en classes ou en choeurs.